dimanche 19 mai 2013

Julien DRION (Acteur français)


Découvert dans le téléfilm d'Ivan Calbérac Simple, où il incarne Kléber, le frère cadet de Barnabé dit 'Simple' (Bastien Bouillon) avec une touchante sensibilité, j'ai voulu en savoir plus sur ce jeune acteur français de tout juste 20 ans.


Formation
  • 2010 :  CNSAD                                                                                                                  
  • 2007/2010 :COURS FLORENT – CLASSE LIBRE - Jean Pierre Garnier, Cyril Anrep, Laurent Natrella, Maxime Franzetti.
Filmographie
  • 2008      CHRYSALIS - Court métrage
  • 2007      JUVENTA - Court métrage réalisé par E Lamoine
Télévision
  • 2010      ALICE NEVERS -  "UNE OMBRE AU TABLEAU" 
  • 2010      SIMPLE - Yvan Calbérac - Kien Production - Rôle de Kléber
  • 2007      ENGRENAGES - Gilles Bannier - Son et Lumière. Rôle de Adrien Marsac
  • DUVAL ET MORETTI - Denis Amar
  • DIANE FEMME FLIC - Nicolas Herdt
  • 2002      PERE ET MAIRE - Aubes Production
  • théâtre
  • 2013      LA NUIT ITALIENNE (Odon Von Horvath) - Jean-Paul Wenzel
  • CNSAD
  • 2012      LA MUSIQUE LA LIBERTE (d'après Baal de Becht, Clément Bondu) - Clément Bondu
  • Cnsad
  • 2012      ANOTHER SIDE OF THE STORY (Caroline Marcadé)
  • CNSAD
  • 2011      BOULI, ANNÉE ZÉRO (Fabrice Melquiot) - Emmanuel Demarcy-Mota
  • Théâtre des Abbesses
  • 2011      NOUS SERONS LES ENFANTS DU SIECLE (Clément Bondu) - Clément Bondu
  • CNSAD
  • 2010      WANTED PETULA (Fabrice Melquiot) - Emmanuel Demarcy Motta
Théâtre

  • 2010      LORENZZACIO (Musset) - Jean Pierre Garnier
  • 2010      CABARET (Hanokh Lévin) - Daniel Martin
  • 2009      FAUST (Goethe) - Mathieu Jeunet
  • 2009      LA PATRIE DE L’IMPATIENCE (d'après H Baker) - Jean Pierre Garnier
  • 2008      MACBETH (W Shakespeare) - K Crespo.
  • 2008      MARIE TUDOR (Victor Hugo) - Laurent Natrella

 Pour en savoir plus sur ce jeune acteur prometteur, voici quelques extraits d’une interview  de Silvana Grasso sur le site du journal de Toulouse, La dépêche :

 « Il a juste vingt ans et a quitté l'école sans le bac. Julien Drion interprète son premier rôle important dans « Simple » d'Ivan Calberac. Rencontre avec un passionné du 7e art.
« Dans le téléfilm, « Simple » d'Ivan Calberac, Julien Drion, 20 ans, interprète Kléber, le frère de Simple, retardé mentalement. Après la disparition de leur mère, ils décident de vivre en colocation et se retrouvent confrontés à la différence. Une aventure palpitante pour ce jeune acteur.
- Pourquoi le cinéma ?
J'ai découvert le cinéma en allant au théâtre avec mes parents. Le jeu des comédiens sur scène m'a donné envie d'être sur un plateau de cinéma.
- Vous avez 20 ans. Comment avez-vous abordé ce rôle plutôt complexe ?
Je me concentre beaucoup. Je réfléchis. Dans ce film, Simple et Kléber, dont je joue le rôle, ont perdu leur mère. Ils décident de vivre en colocation. Mais le retard mental de Simple va rendre les choses très difficiles. Vis-à-vis de mon frère, je dois en même temps, faire preuve de tendresse maternelle mais aussi de rigueur. Les limites doivent être posées.
- Ce film parle de différence. Qu'en pensez-vous ?
La différence est partout. Nous sommes tous différents. Là, bien sûr c'est une différence difficile à vivre avec les autres. Elle renvoie un autre soi-même refusé par la société. Je pense que ce film est un excellent vecteur de réflexion. Oui la différence existe et il faut tout faire pour vivre bien avec.
-Vous avez quitté l'école avant de passer le bac. Pourquoi ?
L'univers de l'école ne me correspondait pas. Je suis très individualiste. Je me sentais étouffé. Le cinéma est mon élément.
- Quels sont vos projets ?
En octobre, je rentre au Conservatoire national de Paris pour trois ans. J'ai encore beaucoup de choses à apprendre dans ce métier.

- Toulouse vous a-t-elle séduit ?
Absolument. La ville est superbe. Les filles plutôt jolies. Dommage que la chaleur soit si étouffante.
- Vos acteurs de référence?
Je préfère rester moi-même mais j'admire beaucoup Patrick Dewaere, disparu trop tôt. J'aime aussi beaucoup Léonardo di Caprio pour son intensité de jeu et Klaus Kinski pour ses extravagances souvent géniales."


Agent artistique : Agence Brigitte Descormiers

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