The White Princess
est une minisérie britanno-américaine en 8 épisodes de 52 minutes diffusée
du 16 avril au 4 juin 2017 sur Starz. Basée sur le roman du même nom de Philippa
Gregory, The White Princess s'inscrit dans la continuité de The White Queen. Cette série est diffusée en France depuis le 9 mai 2020 sur la
chaîne Chérie25. Une suite appelée The Spanish Princess sera
bientôt diffusée sur la même chaîne.
Présentation
En 1485, Henri Tudor devient roi
sous le nom d'Henri VII (Jacob Collins-Levy), fondant par là-même la
dynastie des Tudor. La princesse Élisabeth d'York (Jodie Comer), fille
d'Édouard IV et d'Élisabeth Woodville, devient son épouse, réunissant de ce
fait les deux maisons rivales de Lancastre et d'York. Henri VII choisit pour
emblème la rose Tudor, qui fusionne les deux roses, emblèmes des Lencastre et
des York, pensant ainsi mettre un terme à la Guerre des Deux-Roses qui déchire
le pays depuis trente ans. L'Angleterre est alors unifiée, mais le mariage est
rapidement mis en péril par les familles des deux époux qui tentent chacune de
s'attribuer le pouvoir.
Elizabeth Woodville, la mère d’Elisabeth
d’York conspire pour remettre sur le trône Edouard Plantagenêt, dit « Teddy »
(Rhys Connah), comte de Warwick, mais celui-ci finira par être enfermé à
la Tour de Londres puis exécuté pour trahison en compagnie de Richard d’York (Patrick
Gibson) qui avait pris la tête de la révolte contre Henri VII.
Leur plus terrible ennemie est
Margaret Beaufort (Michelle Fairley), la mère d’Henri VII (« Madame
la mère du roi ») qui finira par faire une alliance contre-nature avec sa
belle-fille Elisabeth d’York pour la stabilité du royaume.
Mon opinion
A l'instar de The White Queen, dont elle prend la suite chronologique, cette remarquable série historique britannique à la réalisation soignée nous entraîne dans le labyrinthe
des intrigues entre familles royales britanniques au XVe siècle. C’est passionnant mais il faut tout
de même s’accrocher tant les intrications entre les généalogies des uns et des
autres sont complexes. Mais on doit saluer la somptuosité des
costumes, ainsi que la qualité des reconstitutions des décors et des scènes de
combat.
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