dimanche 31 mai 2020

THE WHITE PRINCESS Série historique (USA-GB 2017)



The White Princess est une minisérie britanno-américaine en 8 épisodes de 52 minutes diffusée du 16 avril au 4 juin 2017 sur Starz. Basée sur le roman du même nom de Philippa Gregory, The White Princess s'inscrit dans la continuité de The White Queen. Cette série est diffusée en France depuis le 9 mai 2020 sur la chaîne Chérie25. Une suite appelée The Spanish Princess sera bientôt diffusée sur la même chaîne.

Présentation

En 1485, Henri Tudor devient roi sous le nom d'Henri VII (Jacob Collins-Levy), fondant par là-même la dynastie des Tudor. La princesse Élisabeth d'York (Jodie Comer), fille d'Édouard IV et d'Élisabeth Woodville, devient son épouse, réunissant de ce fait les deux maisons rivales de Lancastre et d'York. Henri VII choisit pour emblème la rose Tudor, qui fusionne les deux roses, emblèmes des Lencastre et des York, pensant ainsi mettre un terme à la Guerre des Deux-Roses qui déchire le pays depuis trente ans. L'Angleterre est alors unifiée, mais le mariage est rapidement mis en péril par les familles des deux époux qui tentent chacune de s'attribuer le pouvoir.
Elizabeth Woodville, la mère d’Elisabeth d’York conspire pour remettre sur le trône Edouard Plantagenêt, dit « Teddy » (Rhys Connah), comte de Warwick, mais celui-ci finira par être enfermé à la Tour de Londres puis exécuté pour trahison en compagnie de Richard d’York (Patrick Gibson) qui avait pris la tête de la révolte contre Henri VII.

Leur plus terrible ennemie est Margaret Beaufort (Michelle Fairley), la mère d’Henri VII (« Madame la mère du roi ») qui finira par faire une alliance contre-nature avec sa belle-fille Elisabeth d’York pour la stabilité du royaume.

Mon opinion    

A l'instar de The White Queen, dont elle prend la suite chronologique, cette remarquable série historique britannique à la réalisation soignée nous entraîne dans le labyrinthe des intrigues entre familles royales britanniques au XVe siècle. C’est passionnant mais il faut tout de même s’accrocher tant les intrications entre les généalogies des uns et des autres sont complexes. Mais on doit saluer la somptuosité des costumes, ainsi que la qualité des reconstitutions des décors et des scènes de combat. 

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