E.T., l'extra-terrestre
[à prononcer [i.ti], est un film de science-fiction américain réalisé par Steven
Spielberg et sorti en 1982.
Présentation
Elliott (Henry Thomas), un
petit garçon solitaire, se lie d'amitié avec un extraterrestre abandonné sur
Terre. Avec son frère et sa sœur, Elliott, il va le recueillir, le garder caché
des militaires et des services secrets qui veulent s’en emparer et, finalement
l’aider à regagner sa planète et retrouver les siens.
Succès du film
Sorti le 11 juin 1982, E.T. a
rencontré un succès mondial, dépassant Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir (1977) en nombre d’entrées.
Acclamé par le public et encensé
par la critique, E.T. est devenu aujourd'hui un film culte des années 1980,
notamment de par l'une de ses scènes (le vélo d'Elliott s'envolant dans les
airs) et une réplique de l'extraterrestre (« E.T. téléphone maison »). Le film
obtient notamment quatre Oscars en 1983. Il a été réédité en 1985, puis en
2002, à l'occasion de son 20e anniversaire, avec des plans modifiés
et des scènes supplémentaires.
En France, E.T. est sorti en
avant-première lors de la cérémonie de clôture du Festival de Cannes 1982.
Le film lance la carrière de
l'actrice Drew Barrymore et de l'acteur Henry Thomas, qui avaient respectivement 6
et 10 ans lors du tournage.
Mon opinion
Je n’avais pas encore commenté ce film que j’ai vu à sa sortie en 1982 et qui m’avait bouleversé. Comment rester à cette amitié qui se développe entre ces enfants et un être si différent d’eux auquel ils viennent en aide en bravant le monde des adultes. Je me rappelle surtout avoir été marqué par l’homme aux clés (Peter Coyote). Cette formidable scène, où l’on voit en gros plan les clés et la menace qu’elles représentent nous fait à elle seule haïr ce monde brutal et dangereux que représentent les autorités (l’armée, les services secrets…). Il y a aussi la scène où la maison et ses habitants sont, par crainte d’une quelconque contagion, mis « sous cloche » au sens propre, ce qui n’empêche pas les enfants, dans cette scène d’une folle poésie, de s’envoler avec E.T. pour le reconduire sain et sauf à l’engin qui le ramènera chez lui. je me rappelle qu'à la fin du film les spectateuirs ont applaudi à tout rompre, ce que j'ai rarement connu depuis dans une salle de cinéma, tellement ils étaient soulagés qu'E.T. ait pu repartire "chez lui" au nez et à la barbe de l'armée.
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