jeudi 11 novembre 2021

DESPERATE HOUSEWIVES Série humoristique américaine (USA- 2004-2012)

 


Desperate Housewives est une série télévisée américaine en 180 épisodes de 42 minutes créé par Marc Cherry et diffusé entre le 3 octobre 2004 et le 13 mai 2012 sur le réseau ABC et en simultané au Canada sur le réseau CTV ou CTV Two. En France, la série a été diffusée du 8 septembre 2005 au 21 juin 2012 sur la chaîne à péage Canal+ et en clair du 23 mai 2006 au 28 novembre 2012 sur M6. Elle a ensuite été rediffusée en VM sur Téva et 6ter.

Présentation

La série est une série « chorale » axée sur le quotidien apparemment sans histoire de quatre ménagères blanches et aisées qui vivent dans le quartier bourgeois (ce que les américains appellent « Upper Middle Clas ») de Wisteria Lane (L’Allée des glycines). Wisteria Lane, qui est une rue fictive (en fait un cul de sac) censée se trouver dans la ville de Fairview (elle aussi fictive), comme l’est l’Etat d’Eagle State.  

Les quatre principales héroïnes (il s’en greffe en effet beaucoup d’autres au cours des huit années de développement de la série) sont :

·         Susan Mayer/Delfino (Teri Hatcher) elle a une fille Julie

·         Lynette Scavo (Felicity Huffman), mariée avec Tom, elle est la mère de cinq enfants

·         Bree Van de Camp (Marcia Cross) : a deux enfants Andrew et Danielle

·         Gabrielle ‘Gaby’ Solis (Eva Longoria) d’abord mariée à Carlos, sans enfant.

Menant une vie bourgeoise, aisée et passablement désœuvrée, elles sont amies-ennemies et passent leur temps à se recevoir, à se bouder et à se réconcilier, à se chipper leurs mecs, tout en faisant front commun contre tout ce qui pourrait perturber leur petite vie apparemment bien rangée, mais qui cache en réalité de lourds secrets. Les hommes sont plus des faire-valoir que de véritables personnages et se font manipuler par leurs épouses ou amantes respectives.

Mon opinion

J’ai regardé pas mal d’épisodes de cette série finalement très féministe, les femmes jouant de leur féminité pour s’arroger des droits que leur dénie la société, et de faire des hommes qui les entourent d’obéissantes marionnettes, appréciant son écriture et me régalant souvent des situations complexes et invraisemblables dans lesquelles se fourraient les personnages. J’ai fini par décrocher, comme très souvent dans les séries trop longues où la saturation des rebondissements, l’ajout - voire le remplacement de certains personnages - finit par lasser. Mais il m’arrive encore de me laisser aller à revoir certains épisodes en replay tant la vacherie des dialogues est jubilatoire.  

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