Ce blog est consacré au cinéma et aux séries TV. J'y traite principalement des films et des séries que j'aime mais je me réserve aussi le droit d'en critiquer certains.
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samedi 20 janvier 2018
FESTIVAL DU CINEMA TELERAMA 2018
Comme chaque année, le Festival cinéma de Télérama (3,50 € la séance avec le pass Télérama) se déroulera du mercredi 24 au mercredi 30 janvier. A Aubenas, notre nouveau cinéma Le Navire projette la sélection suivante :
- A l'heure des souvenirs de Ritesh Batra (GB)
- America de Claus Drexel (France)
- Jusqu'à la garde de Xavier Legrand (France)
- L'Atelier de Laurent Cantet (France)
- Barbara de Mathieu Amalric (France)
- Certaines femmes de Kelly Reichardt (USA)
- Le Caire confidentiel de Tarik Saleh (Allemagne-Danemark-Suède)
- Faute d'amour d'Andreï Zviaguintsev (Russie)
- Logan Lucky de Steven Soderbergh (USA)
- Patients de Grand corps malade et Mehdi Idir (France)
- Un homme intègre de Mohammad Rasoulof (Iran)
- Visages villages d'Agnès Varda (France)
- La villa de Robert Guédiguian (France)
Je regrette que la programmation du Navire n'ait pas retenu 120 battements par minute (Grand prix du dernier Festival de Cannes), Blade Runner 2049, The lost city of Z, Une vie violente ou Le grand méchant renard et autres contes...
vendredi 10 avril 2015
LA DAME EN NOIR épouvante de James Watkins (GB-2012)
La dame en noir. Ce thriller fantastique réalisé par James Watkins est sorti en 2012. Il
s'agit de la cinquième adaptation du roman The
woman in Black de Susan Hill publié en 1983, qui a déjà connu de nombreuses
adaptations au cinéma, au théâtre ou à la télévision.
Synopsis
Nous sommes à l'époque
victorienne. Arthur Kipps (Daniel
Radcliffe) est un jeune clerc de notaire anglais qui a perdu sa femme au
moment où elle mettait au monde leur fils Joseph qu'il élève seul avec l'aide
d'une gouvernante. Depuis la naissance de Joseph, qui est un adorable bambin de
4 ans, Arthur ne parvient pas à se ressaisir.
Lorsque le film commence, Arthur est
en train de se raser avant de quitter Londres pour partir dans un village du
nord-est de l'Angleterre afin d’expertiser une maison que son cabinet est chargé
de mettre en vente. Seul l'appel de son fils l'empêche de se couper la gorge.
Pendant le voyage en train, il
rencontre Samuel Daily, un homme riche et sympathique, qui, sous une pluie
battante, lui offre de le conduire à l'auberge où son cabinet lui a réservé une
chambre. Lorsqu'il arrive au Gilford Arms, l'aubergiste l'aurait jeté à la rue
sans l'intervention de sa femme, Mme. Fisher, qui lui propose une chambre dans
les combles.
Le lendemain, Arthur se rend à
Eel Marsh House, la fameuse maison, située au milieu des marais, que l'on ne
peut atteindre que par une digue recouverte à marée haute. La maison est
réellement effrayante. Bien qu'abandonnée, elle semble vivre d'une vie propre,
menaçante. Dès qu’il y a mis le pied, Arthur entend des cris et pense qu'on y
séquestre quelqu'un.
De retour au village, il se rend
immédiatement au poste de police pour raconter au préposé ce qu'il a vu et
entendu dans la maison. Pendant qu'il attend que le fonctionnaire revienne,
trois enfants arrivent dans le poste de police : deux garçons encadrant une
fillette gravement malade car elle a avalé de la lessive (il faut comprendre de
la soude caustique, que l'on utilisait alors pour laver le linge). Elle meurt
dans les bras d'Arthur en vomissant du sang. D'autres enfants vont ensuite
mourir dans des circonstances aussi horribles qu’étranges.
Curieusement, les villageois, non
seulement lui refusent toute assistance, mais semblent le considérer comme
responsable de ces morts et exigent qu'il reparte pour Londres. On comprendra
qu'en venant déranger la maison et ses secrets, Arthur a involontairement
déclenché la vengeance de la dame en noir.
Mon opinion sur ce film
Je ne suis pas un grand fan des
films d'horreur (j'apprends dans le bonus que Daniel Radcliffe, non plus, ce qui est d’autant plus surprenant que
dans tous les films où il a incarné Harry Potter, aucune horreur ne lui a été
épargnée !) Comme tout le monde, j'en ai vu quelques-uns mais ce n'est pas ma
tasse de thé. Soit parce que je crains d'être réellement marqué par ce que je
vois, tout en sachant que c'est du cinéma, soit parce que les ficelles y sont
tellement grosses que j'aurais plus tendance à éclater de rire qu’être réellement
impressionné. Dans mes critiques passées, vous trouverez à ce sujet des
opinions très tranchées (j'ai littéralement démoli le Dracula de Francis Ford
Coppola ou Paranormal activity qui, pour moi, ne sont guère plus que de pitoyables
farces) mais par contre relativement apprécié The orphanage
(l'Orphelinat), dont j'ai appris, par les suppléments du DVD, qu'il avait
inspiré le réalisateur, ou Les autres.
Je dois reconnaître que La
dame en noir est, sur le plan de l'horreur, un film terriblement efficace.
Le mérite en revient à une mise en scène sobre, plus faite d'ambiances que de
véritables scènes d'horreur (tout y est suggéré, rarement montré) à part,
peut-être, par une surutilisation des poncifs du genre (portes s'ouvrant ou se
fermant toutes seules, automates qui se déclenchent seuls, etc...) et surtout
de l'excellentissime prestation de notre cher Daniel Radcliffe qui montre une nouvelle fois son talent dans un
genre dans lequel on ne l'attendait pas.
Mon classement
vendredi 3 janvier 2014
QUARTET de Dustin HOFFMAN (GB-2013)
Quartet (ou Le Quatuor) est une comédie dramatique britannique réalisée par Dustin Hoffman, sortie en
2012. Il sort le 3 avril 2013 en France.
[Il existe aussi un film intitulé Le Quatuor avec Philip Seymour-Hoffman, sorti en 2012.]
Synopsis
Quartet est l’adaptation
d’une pièce de théâtre à succès de Ronald Harwood, qui est aussi le scénariste
du film. Le dramaturge s’était lui-même inspiré d’un documentaire suisse des
années 80 décrivant le quotidien des résidents d’une maison de retraite pour
musiciens âgés fondée par Giuseppe Verdi.
A quelques jours du gala de
bienfaisance destiné à rassembler des dons pour maintenir ouverte Beecham
House, luxueuse maison au cœur de la campagne anglaise, qui accueille les
musiciens âgés, l’annonce de l’arrivée
imminente d’une grande cantatrice agite la petite communauté. Pour Wilf,
Regginald (Reggie) et Cissy, le choc est encore plus grand que pour les autres résidents lorsqu’ils découvrent que la
nouvelle venue est Jean Horton. En effet, tous les quatre ont fait partie, par le passé, du Quatuor, une mythique formation qui s'est dissoute en raison de l’ambition de
Jean et de son ego de diva. En outre, Reginald, qui a été son mari, ne lui a jamais pardonné de l'avoir quitté. Malgré les vieilles
blessures et les reproches, le Quatuor se reformera pour un dernier concert à l'occasion de l'anniversaire du grand Verdi.
Distribution
- · Maggie Smith (Jean Horton)
- · Tom Courtenay (Reggie Paget)
- · Billy Connolly (Wilf Bond)
- · Pauline Collins (Cissy Robson)
- · Michael Gambon (Cidric Levingston)
Lieu de tournage
Le film a été tourné à Hedsor House, dans le Buckinghamshire.
Réception
Quartet a reçu un accueil positif
des professionnels et du public. Rotten Tomatoes lui a attribué 80% d’opinions favorable
et Metacritic un score de 64/100. Mais, en France, une diffusion confidentielle l'a privé du succès qui l'aurait sans doute accueilli.
Après avoir vu ce film, on ne ne peut s'empêcher de faire le rapprochement avec le film Indian Palace, dont il reprend un peu les ingrédients
(la situation d'anglais âgés et relativement aisés confrontés à la solitude et aux difficultés financières).
Mon classement 4/5 (Bon film, mais un cran au-dessous d'Indian Palace dont il n'a pas la gaieté ni le dynamisme). La photographie de John de Borman est toutefois remarquable. Maggie Smith est toujours aussi épatante.
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