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mardi 19 août 2014

TORCHWOOD série de science-fiction britannique (2006-2011)


Torchwood Série télévisée de science-fiction britannique créée par Russell T. Davies. Créée en 2006 pour BBC3, elle compte 4 saisons de 51 épisodes au total et a duré jusqu’en septembre 2011; En France, la série a été diffusée à partir du 12 octobre 2007 sur NRJ 12, puis à partir du 13 janvier 2009 sur Syfy.

Synopsis

Torchwood est dérivé de la série Dr. Who (les anglo-saxons appellent cela un spin-off). L'Institut Torchwood aurait été créé en 1879 par la reine Victoria pour lutter contre les ennemis extra-terrestres de l'Empire britannique, enquêter sur les incidents impliquant des extraterrestres et récupérer les artefacts qui pourraient avoir des implications dangereuses dans notre monde. Torchwood se déroule à Cardiff au pays de Galles, et est censé débuter quelque temps après la fin de la 2ème saison de Doctor Who. La série est centrée sur le personnage du « Capitaine » Jack Harkness, incarné par  l’acteur écossais John Barrowman. Le pitch initial était donc intéressant et prometteur...  

Ma critique

J'avais lu de bonnes critiques sur cette série produite par la BBC. Lors d'un des premiers épisodes, un de ces artefacts, un gant de technologie alien, permettait de rappeler à la vie quelqu'un qui venait de mourir pour lui faire revivre ses derniers instants. Dans le cas d'un assassinat, l'Institut Torchwood utilisait ce "gant" pour démasquer le meurtrier de la victime. Mais, comme souvent (je pense en particulier à l'excellentissime série The lost room, trop vite interrompue ou de Warehouse 13), chaque objet "à pouvoir" a deux facettes, une bonne et une mauvaise et le "gant" prend un tel ascendant sur la  personne qui le manipule (en l'occurrence, dans cette 1ère partie, Suzie Costello, membre de l'équipe de Torchwood) qu'il en fait à son tour une meurtrière.

Après des débuts prometteurs, les épisodes suivants m'ont vite lassé et, malgré l'humour et le charisme certain de quelques personnages, à commencer par le rôle-titre du "Capitaine" Harkness et de Ianto Jones (Gareth David-Lloyd), l'énigmatique majordome-chauffeur-homme à tout faire de Torchwood), les choses ont très vite (trop vite) dérapé et l'économie de moyens, la répétitivité des épisodes et l'invraisemblance des scenarii m'ont découragé.  

 Dommage, car l'idée de départ était bonne... Mais une bonne idée et de bons acteurs ne sont pas suffisants lorsque les scénaristes et les moyens ne sont pas à la hauteur et la mise en scène déficiente. 

Une série "dispensable", pour reprendre un terme à la mode.  

DES VOIX DANS LE JARDIN de Pierre Boutron (1993)


Des voix dans le jardin (Voices in the garden) de Pierre Boutron (1993). Le film est adapté d’un livre de Dirck Bogarde, "Voices in the garden". Ce film a été tourné pour la BBC dans le cadre d'une série intitulée "Screen Two" qui prit la suite de "Play for Today", séries mettant en scène des œuvres littéraires ou des pièces de théâtre. 

Synopsis

Cuckoo Peveral (Anouk Aimée), une grande bourgeoise un peu frivole, apprenant qu'elle est condamnée par une leucémie, tente de se suicider en se jetant du haut de la falaise de la splendide propriété à Saint -Jean Cap-Ferrat où elle vit avec son mari, un aristocrate anglais passionné par l'histoire de l'Aiglon, le fils au destin tragique de Napoléon et de Marie-Louise d'Autriche, mort à 21 ans.

Un jeune étudiant venu d'Angleterre, Marcus (Samuel West), qui campait sur la plage privée de la villa, la voit au moment où elle va se jeter dans le vide et la sauve. La présence de ce beau jeune homme plein d'énergie et de joie de vivre apporte un souffle nouveau dans le train-train compassé et étouffant dans lequel vivait jusque-là le couple et Cuckoo reprend le goût de vivre.

Mon jugement

J'avais gardé de ce film, que j'avais vu à la télévision, un souvenir marquant, surtout en raison de la présence, dans le rôle principal, d'Anouk Aimée, l'inoubliable interprète d' Un homme et une femme, le chef d’œuvre de Claude Lelouch,  qui est une de mes actrices préférées.

Cuckoo, tout en sachant que cela ne changera rien à son sort, qui est scellé, reprend goût à la vie et une trouble séduction naît entre le tout jeune Marcus et elle jusqu'au jour où la copine de Marcus, débarque. Leni est une fille bizarre. Née dans une grande famille de bourgeois allemands, elle a fui sa famille et un passé qui l'étouffait pour aller vivre une vie de saltimbanque en Angleterre. Bien qu'elle aime profondément Marcus, elle ne lui a rien dit de qui elle était vraiment. Cuckoo comprend tout et, émue par l'amour de ces deux jeunes gens,  les aide à se dire la vérité de leur vie et de leur amour,

C'est un très beau film que j'aurais aimé pouvoir revoir mais, bizarrement, il n'est jamais sorti en DVD alors que le réalisateur français Pierre Boutron, bien que peu connu du grand public, a réalisé de nombreux films pour la télévision française et quelques films dont certains ont été de grands succès (Léon Morin prêtre, 1991; Des enfants dans les arbres, 1994; Messieurs les enfants, 1996, etc.) 

Cela semble encore plus étonnant quand on sait que les acteurs de ce film ne sont pas non plus des acteurs secondaires : hormis Anouk Aimée, qui est une grande dame du cinéma français, ses partenaires britanniques (Joss Ackland : Sir Charles et Samuel West : Marcus) ne sont pas non plus des inconnus.

Alors que la production du cinéma et de la télévision nous inondent d'insipidités et de rediffusions jusqu'à l’écœurement, on ne comprend pas pourquoi le spectateur est privé de la découverte de telles pépites.

Je précise en outre que ce téléfilm n'apparaît pas dans la filmographie officielle d'Anouk Aimée. On se demande bien pourquoi. 

jeudi 13 mars 2014

DE GRANDES ESPERANCES (Téléfilm GB, 2011)


De grandes espérances de Brian Kirk (2011). Téléfilm britannique, adapté du classique Great expectations de Charles Dickens. Scénario de Sarah Phelps. Avec Oscar Kennedy (Pip enfant), Douglas Booth (Pïp adulte), Gillian Anderson (Miss Havisham).

Le réalisateur de ce téléfilm est aussi le réalisateur de My boy Jack, le bouleversant biopic sur John 'Jack' Kipling, le fils de Rudyard Kipling, mort à 18 ans lors de la terrible bataille de Loos pendant la guerre de 14. Dans ce film, le rôle de Jack est joué par Daniel Radcliffe. 

Synopsis

A la différence du film du même nom d'Alfonso Cuaron, dont j'ai déjà parlé ici, cette adaptation est parfaitement fidèle au roman de Dickens et se déroule, comme lui, dans la 1ère partie du XIXe siècle. Les Grandes Espérances ou De grandes espérances (en anglais Great Expectations) a été le treizième roman de Charles Dickens (1812-1870), le deuxième, après David Copperfield, à être raconté entièrement à la première personne par le protagoniste. Le sujet principal en est la vie et les aventures d'un jeune orphelin, Philip Pirrip, dit Pip, élevé dans les landes du Kent, jusqu'à sa maturité. D'abord publié en feuilleton de décembre 1860 à août 1861, dans le magazine de Dickens « All the Year Round », il parut ensuite en trois volumes chez Chapman and Hall en octobre 1861.

Comme pour David Copperfield, cette œuvre est en grande partie inspirée de l’enfance difficile de l’auteur qui avait connu la misère.

Le héros de Great Expectations est un orphelin, recueilli par sa sœur, qui ne lui montre aucune tendresse, et son beau-frère forgeron, Joe Gargery, un brave et honnête homme. Un jour, alors que Pip s’est disputé avec sa tutrice, il s’enfuit dans les marais et tombe sur un forçat fugitif. Le forçat est presque nu, sale et affamé et il oblige Pip à aller lui chercher une lime pour se débarrasser de ses fers. Terrorisé, Pip obéit et revient avec la lime mais, touché par le dénuement de l’homme, il lui apporte aussi de la nourriture. Le forçat, Abel Magwitch, est à nouveau arrêté et disparaîtra, du moins pour un temps, de la vie de Pip.

Dans les environs de la forge réside, dans un manoir isolé et en ruine, une femme riche et fantasque, Miss Havisham. La vie de Miss Havisham s’est figée à jamais le jour de son mariage où son promis ne s’est pas présenté. Depuis ce jour, elle vit en recluse, hantant le manoir délabré où la table prévue pour le mariage croule sous la poussière et les toiles d’araignée, vêtue de sa robe de mariée crasseuse qui tombe en lambeaux, et refusant que quoique ce soit ne change dans le manoir. Cependant, elle a adopté une enfant, Estella, qu’elle élève comme sa fille et qui, malgré l’environnement macabre qui l’entoure, semble mener une vie quasi-normale. C’est pour elle, que Miss Havisham demande aux parents adoptifs de Pip, de lui « louer » le jeune garçon. Bien entendu, un seul regard sur Estella suffit à Pip pour tomber amoureux de la jeune fille.  

Au contact d’Estella et de Miss Havisham, Pip imagine pour lui un autre avenir que celui de devenir forgeron. Mais un jour, sans raison apparente, Miss Havisham se lasse de sa présence et le renvoie. Pip, désespéré, revient à la forge et se fait une raison, apprenant le métier de forgeron. Plusieurs  années passent jusqu’à la visite d’un notaire qui lui annonce qu’un bienfaiteur souhaite financer son éducation à condition qu’il parte sur le champ pour Londres et ne cherche pas à connaître le nom de son protecteur. Bien entendu, Pip imagine qu’il s’agit de Miss Havisham et que son avenir est d’épouser Estella.

Mais, comme toujours dans les romans de Dickens, la happy end n’arrivera qu’après de longues et sombres péripéties.

Mon opinion

De grandes espérances est peut-être l’une des œuvres de Dickens qui a été la plus adaptée, respectivement 6 fois au cinéma et 8 à la télévision. J’avais déjà vu le film d’Alfonso Cuaron (1998) qui transposait avec hardiesse l’histoire à l’époque contemporaine, la déplaçant aux Etats-Unis,  faisant de Pip (renommé Finn), un enfant de pêcheur sur le golfe du Mexique qui deviendra un grand peintre à New York.

L’adaptation de Brian Kirk est beaucoup plus sage et proche de l’histoire originale. La photographie léchée, les costumes d’époque et la reconstitution des bas-fonds du Londres victorien, nous plongent au cœur de la misère de cette société terriblement inégalitaire que Dickens dénonça sa vie durant. On aura du mal à reconnaître Gillian Anderson, l’ex-agent Scully de la série X-Files, dans le rôle de cette sorcière à demi-folle qu’est devenue Miss Havisham. Par contre, Douglas Booth, dans le rôle de Pip adulte, a toute la grâce du héros romantique partagé entre son ambition effrénée et sa fidélité à ses idéaux d’enfant. On l’imaginerait assez jouer le rôle, aussi ambivalent, de Julien Sorel dans une future adaptation du Rouge et le Noir.


mardi 19 novembre 2013

DR WHO Série britannique de SF (1963-en cours)


Créée en 1963, la série Doctor Who est la plus longue série de science-fiction au monde puisque la série originale compte 679 épisodes de 26 minutes (dont 255 en noir et blanc), 15 épisodes de 45 minutes et un épisode de 90 minutes. Considérées comme un tout, les deux séries comptent près de 800 épisodes. 

- La 1ère série, créée en 1963 par Sydney Newman et Donald Wilson, a duré 26 ans (1963-1989). Son héros, un extra-terrestre d'apparence humaine, le Docteur (il n'a pas d'autre nom), voyage dans l'espace-temps à bord d'un vaisseau spatial, le Tardis (initiales de "Time And Relative Dimension(s) In Space"). Pour passer inaperçu, le Tardis adopte extérieurement la forme d'une cabine téléphonique bleue de la police anglaise. Vingt-six séries se succédèrent jusqu'en 1996, date où la BBC, en raison d'une baisse de l'audience et de l'intérêt du public, décida d'y mettre fin. Dans l'espoir de pouvoir redémarrer la série, la chaîne produisit cependant avec la Fox en 1996 un téléfilm eut peu de succès, ce qui condamna le projet. 

En 2003, la BBC annonça qu'une seconde série serait produite par Russell T Davies et Julie Gardner, avec Davies comme scénariste principal. Christopher Eccleston fut annoncé pour être le nouvel interprète du Docteur. Une seconde série a suivi à partir de 2005 avec 7 nouvelles saisons, et une diffusion élargie à de nombreux pays dont la France.

Synopsis

Le Docteur est un extraterrestre de la race des Seigneurs du Temps (Time Lords) originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS, une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Particulièrement attaché à la Terre, il est régulièrement accompagné dans ses voyages par des compagnons, pour la plupart humains et féminins.

Dans la première série (1963-1989) le Docteur était un Seigneur du Temps parmi d'autres. Dans la seconde série (à partir de 2005), il se présente comme le dernier survivant de sa race, celle-ci ayant été anéantie lors d'une guerre, la "Guerre du Temps", qui s'est déroulée entre les Daleks et les Seigneurs du Temps. Parmi ces derniers, le Docteur est resté seul représenant de son espèce alors que quelques Daleks ont survécu. 

En tant que Seigneur du Temps, le Docteur a le pouvoir de se régénérer lorsqu'il est mortellement blessé, mais cette régénération s'accompagne d'un changement d'apparence physique mais aussi de caractère, même s'il conserve intégralement le souvenir de ses vues passées. Traditionnellement, les différentes incarnations du Docteur sont désignées par leur place dans l'ordre chronologique. Par exemple, le « Sixième Docteur » fait référence à la sixième incarnation du personnage.

Les acteurs ayant incarné le Docteur

Il y a eu, à ce jour, 12 Docteurs, certains Docteurs ayant été incarnés par plusieurs acteurs différents. Le 1er Docteur a été interprété par William Hartnell (1963-1966). Trois ans plus tard, après sa démission pour cause de maladie, il a été remplacé par Patrick Troughton (1966-1969). Celui qui a incarné le Docteur le plus longtemps fut Tom Baker, le 4ème Docteur (1974-1981), qui jouit d'une grande popularité. Parmi les acteurs ayant incarné le Docteur dans les dernières années, le plus populaire est David Tennant, le Dixième Docteur.

- 1er Docteur (1963-1966) : William Hartnell puis Richard Hurndall
- 2ème Docteur (1966-1969) : Patrick Troughton 
- 3ème Docteur (1970-1974) : John Pertwee
- 4ème Docteur (1974-1981) : Tom Baker
- 5ème Docteur (1981-1984) : Peter Davidson
- 6ème Docteur (1984-1986): Colin Baker 
- 7ème Docteur (1987-1989) : Sylvester McCoy
- 8ème Docteur (1996) : Paul McGann  
- 9ème Docteur (2005) : Christopher Eccleston 
- 10ème Docteur (2005-2010) : David Tennant
- 11ème Docteur (2010-2013) : Matt Smith 
- 12ème Docteur : Peter Capaldi (2013-…) 

Réception par le public

La série est restée longtemps confinée au Royaume-Uni et, en dehors de celui-ci, elle n'était connue que de quelques fans. Elle a été diffusée pour la première fois en France sur TF1 en 1989 en commençant par la 4ème saison, le Docteur étant interprété par Tom Baker. La seconde série a été diffusée sur France 4. 

A l’origine, Doctor Who devait être une série éducative s’adressant à toute la famille et elle fut donc diffusée le dimanche matin. Au début, elle alternait des histoires prenant place dans le passé, dans le but avoué d'enseigner l’Histoire sous une forme ludique aux jeunes téléspectateurs; elles alternaient avec des épisodes tournés vers le futur ou l’espace, afin de les familiariser avec la science. Cependant, à partir de 1967, les épisodes de science-fiction finirent par devenir de plus en plus fréquents et supplantèrent définitivement les épisodes historiques. La série continua cependant à utiliser des éléments historiques, mais ils étaient généralement utilisés comme toile de fond pour une histoire de science-fiction. Il n’y eut qu’une exception :  l'épisode "Black Orchid", qui se déroule entièrement en Grande-Bretagne pendant les années 1920. Ces épisodes, qui mêlent histoire et science-fiction sont d'ailleurs souvent les plus travaillés et les plus réussis. 

Depuis ses débuts, la série s'est affranchie de cadres qu'elle s'était fixés à l'origine, n'hésitant pas à intégrer à ses épisodes des situations effrayantes. Ceux qui les ont vues n'oublieront jamais, par exemple, certaines images de la deuxième saison de Jon Pertwee (Troisième Docteur), dans l'épisode "Terror of the Autons" (1971), où des poupées meurtrières massacrent des innocents, comme dans les pires films d'horreur inspirés des histoires de Stephen King. Ce genre d'épisodes qui truffent la série a même fait passer l'expression « behind the sofa » (« derrière le canapé ») dans le langage courant. En 1972, une enquête de la BBC montra que Doctor Who était la série la plus violente alors produite par la BBC. 

Difficultés inhérentes à la série

Il n'est pas facile, pour un télespectateur français, de se laisser entraîner à aimer la série Dr Who. D'abord, nous savons tous que, même si cela change depuis quelques années, le public français est viscéralement hermétique à la science-fiction et au fantastique.. Un autre handicap de la série Dr. Who est son côté trop "typically British" : son univers, comme celui de Misfits ou de Skins, ne parle vraiment qu'à ceux qui connaissent la Grande Bretagne et y ont vécu. Enfin le mode de diffusion chaotique (4ème saison diffusée sur TF1 puis sur France 4) qu'a connu la série chez nous a eu de quoi désarçonner le public, même le plus ouvert. Si l'on veut vraiment "entrer" dans Dr. Who, il faut se procurer les DVD et les regarder sans interruption sur plusieurs saisons car il faut ajouter que les intrigues multiples, les acteurs interchangeables incarnant le Docteur, le passage d'un monde imaginaire à l'autre, d'un univers ou d'une époque à l'autre, ne facilitent pas la compréhension.

La série a donné lieu à un spin-off, Torchwood. 

Mon opinion sur la série

Personnellement, je n'ai connu que les deux derniers et ma préférence va nettement à l'avant-dernier Docteur, David Tennant, un acteur écossais qui incarne un Docteur décontracté, sympathique, jouant constamment de la plaisanterie et de l'humour, ce qui n'empêche par, par moments, une certaine gravité. Je ne peux pas dire que j'ai vraiment "accroché" avec la série Dr. Who, pas plus que je l'avais fait avec Torchwood, qui lui est lié d'une certaine manière, l'Institut Torchwood ayant justement été créé pour lutter contre les risques extraterrestres. La qualité des épisodes, écrits par des scénaristes différents, est aussi trop inégale pour captiver le spectateur. 

Mon classement 3/5