Passengers est un
film de science-fiction américain réalisé par Morten Tyldum, sorti en
2016. Il s’inspire de la nouvelle Le Voyage gelé, de Philip K. Dick,
parue en 1980.
Résumé
Le film se déroule à bord du
vaisseau spatial, Starship Avalon, qui fait route vers une lointaine planète
colonisée, Homestead II. À son bord, plus de 5 000 passagers sont maintenus en
hibernation et doivent se réveiller dans 120 ans, à l’arrivée sur la future
colonie. Mais, suite à un bombardement de météorites qui touche l’ordinateur
central, l'un des passagers, Jim Preston (Chris Pratt), sort d’hibernation
90 ans trop tôt. A son réveil, il se rend compte qu’il est l’unique passager
éveillé. Il essaie d'avertir la Terre, mais il y renonce en découvrant que la
réponse n'arrivera pas avant 55 ans. Il essaie ensuite de réactiver sa capsule
pour se rendormir mais il n’y parvient pas. Il cherche alors du réconfort
auprès d'Arthur le barman androïde (Michael Sheen) qui ne peut lui conseiller
que de jouir du luxe du vaisseau à défaut de trouver une solution. Jim s'y
essaie, faisant le tour des nombreuses distractions proposées par l'Avalon,
mais il se lasse vite et sombre dans l'alcool et la dépression. Après plus d'un
an en solitaire, il découvre deux scaphandres permettant d'effectuer des
sorties sécurisées dans l'espace. Jim contemple l'immensité de l'Univers dans
lequel il est perdu et, au retour, il songe à se suicider en se projetant dans
l'espace sans protection, mais y il renonce au dernier moment. De retour dans
la salle des capsules d'hibernation, il trouve celle d'Aurora Lane (JenniferLawrence), une jeune journaliste et écrivain et il finit par en tomber
amoureux. Poussé par l'ennui et la solitude, il va finir par céder à la
tentation de la réveiller à son tour. Lorsque, par une indiscrétion d’Arthur,
elle découvrira la vérité, elle deviendra folle de rage envers Jim. Mais,
lorsqu’ils découvriront que la survie du vaisseau et de ses 5000 passagers
repose sur eux, ils feront tout pour le sauver, y compris au péril de leur
propre vie qu’ils savent condamnée…
Mon opinion
Le scénario n’est pas entièrement
satisfaisant et nous perd plusieurs fois en route à cause de ses incohérences.
Quant à la mise en scène, elle est d’une platitude intersidérale. Malgré tout, le
film, qui se déroule entièrement dans l’espace, se laisse regarder surtout grâce à sa
beauté visuelle et à ses effets spéciaux ainsi qu'à l’attention portée aux décors. L'humour dont fait preuve le barman-androïde (Michael Sheen) allège agréablement ce long pensum.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vos commentaires, chers lecteurs, seront les bienvenus. Ils ne seront toutefois publiés qu'après modération et seront systématiquement supprimés s'ils comportent des termes injurieux, dans le cas de racisme, de caractère violent ou pornographique. Si vous souhaitez une réponse, n'envoyez pas un message anonyme mais laissez un nom ou un pseudo auquel je puisse vous contacter.