Apprendre à t'aimer
est un téléfilm français en 2 épisodes réalisé par Stéphanie Pillonca et
diffusé le 8 septembre 2020 sur M6. Il a été rediffusé sur M6 le 15 février
2022 et on peut le revoir en replay sur 6 Play. Le téléfilm aborde le sujet
d'un couple dont le bébé est porteur de la trisomie 21.
Résumé
Franck (Ary Abittan) et
Cécile (Julie de Bona) sont tout à leur bonheur car Cécile est enceinte
et ils attendent cet enfant avec joie. Malheureusement, lors de l’accouchement,
il s’avère que la petite Sarah est porteuse du gène de la trisomie 21 qui n’a
pas été dépistée lors de la grossesse. Franck, qui est entraîneur d’une équipe
de judo amateur, fuit ses responsabilités, laissant Cécile faire face toute
seule aux multiples problèmes auxquels est confronté un bébé trisomique. Devant
les difficultés, les deux époux s’éloignent peu à peu jusqu’à ce que Cécile, à
bout de nerfs, décide de laisser Sarah à la garde de Franck. Mais cela ne
suffit pas au couple à se rapprocher. Ce n’est que lorsque Franck assiste à une
compétition de judo gagnée par un garçon trisomique que sa fille pourra un jour
s’épanouir malgré son handicap. Il commence alors à s’impliquer davantage dans
l’éducation de Sarah. Il assiste ensuite à un spectacle de danse organisé par l’école
où les trisomiques participent et il est ému aux larmes par leur performance.
Après que Sarah a dû être opérée
pour une malformation cardiaque, il se rapproche définitivement de sa femme. Il
ne se voit plus désormais accepter la mirifique proposition professionnelle d’un
recruteur et choisit de rester aux côtés de sa femme et de sa fille.
A la fin, on le voit entraîner
une équipe de judokas trisomiques.
Mon opinion
Magnifique film traité sans
pathos et même avec un certain humour sur un handicap qui touche près de 50 000
personnes en France. A voir absolument !
Merci pour tes deux derniers posts.
RépondreSupprimerJe viens de lire ta critique de" Apprendre à t'aimer "J'ai revu ce film cette semaine, mème émotion.
Hier j'a vu en salle "Presque" excellent, de et avec Alexandre
Jollient et Bernard Campan
GAK