Smallville (série TV)
Après avoir suivi avec passion la série de science fiction Smallville lors de ses premières saisons, je m'en étais lassé à partir de la 6ème. La série a duré 10 saisons (soi 218
épisodes), un record rarement atteint par une série TV ni meilleur ni moins bonne que d'autres !
J'avais beaucoup aimé la manière dont les scénaristes des premières saisons (Alfred Gough et Miles Millar) avaient abordé la jeunesse de Superman. Au début de la série, Superman, découvert bébé dans un champ par un couple de fermiers, est élevé par ses parents adoptifs dans une ferme d'une petite ville agricole du Texas du nom de Smallville. Les premières saisons se déroulaient à Smallville
où le jeune Clark Kent (Tom Welling), lycéen au lycée de Smallville, entouré de ses amis, Lana Lang (Kristin Kreuk, Pete et Chloé Sullivan (Allison Mack), menait la vie d'un ado américain presqu'ordinaire, en essayant de maîtriser ses pouvoirs.
J'avais
fini par "décrocher" vers la 6e saison devant les rebondissements
laborieux et les invraisemblances (mort de certains personnages, depuis ressuscités,
etc.), me demandant comment une série qui me paraissait à bout de souffle
pouvait bien continuer aussi longtemps alors que d'autres, bien meilleures, comme
Battlestar Galactica,
The lost room ou Jericho s'étaient interrompues
soit disant en raison de trop faibles taux d’audience...
Je viens de voir la saison 8 de
Smallville qui, bien qu'elle ne soit pas exempte des travers des saisons
précédentes, présente certaines qualités. Clark a grandi, il est devenu plus
adulte et il assume mieux ses pouvoirs et ses faiblesses. L'Archer vert alias
Oliver Queen (interprété par Justin Hartley) a, lui aussi, pris plus
d'épaisseur. Par contre, le retour provisoire de Lana Lang n'était pas
indispensable. Quant à la grossière transformation de Davis en monstre
sanguinaire, si le personnage est intéressant, la "bête" qui prend possession de lui est par contre
d'un ridicule achevé, indigne des réussites des techniques d'imagerie et de 3D
actuelles. On a l'impression de voir un vieux film de SF des années 50.
La BO
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vos commentaires, chers lecteurs, seront les bienvenus. Ils ne seront toutefois publiés qu'après modération et seront systématiquement supprimés s'ils comportent des termes injurieux, dans le cas de racisme, de caractère violent ou pornographique. Si vous souhaitez une réponse, n'envoyez pas un message anonyme mais laissez un nom ou un pseudo auquel je puisse vous contacter.