Marge d’erreur est un téléfilm français de Joël Santoni, avec Anny
Duperey, Julien Crampon, Emilie de
Preissac…
Résumé
Rebecca (Anny Duperey) est une avocate expérimentée. Convaincue de l’innocence
de son client, Kevin Gossens (Julien
Crampon), un jeune homme accusé d’avoir assassiné une femme après lui avoir
coupé le doigt sur lequel elle portait une bague de prix, elle parvient à faire
acquitter. Pour fêter l’événement, Kevin invite Rebecca à déjeuner. Celle-ci
est troublée par le discours ambigu de son client… Le lendemain, elle découvre
dans son sac à main, horrifiée, un paquet avec un doigt coupé portant une
bague, accompagné d’un mot de remerciement de Kevin…
Se rendant compte que le jeune
homme à la gueule d’ange qu’elle a défendu est un dangereux criminel, elle va
le trouver à Bruxelles où il travaille dans le restaurant de son oncle. C’est
le début d’une descente aux enfers, Kevin, aidé de son cousin et de ses amis,
se révélant sous son vrai jour, celui d’un prédateur sans scrupule.
Malgré l’aide du capitaine Malice
Van Cobbaert (Emilie de Preissac),
une policière aux méthodes peu orthodoxes, elle va tenter, non sans prendre d’énormes
risques, d’interrompre la macabre carrière de Kevin.
Mon opinion sur ce film
Par son sujet, ce film en rappelle
un autre, La défense Lincoln, où un avocat, convaincu de l’innocence de
son client, le défend jusqu’à ce qu’il comprenne qu’il a affaire à un dangereux criminel
manipulateur. Marge d’erreur n’a pas la prétention de se hisser au niveau de
ce dernier film, remarquablement mené. Mais les personnages sont attachants, malgré pas mal d’incohérences
et une fin un peu décevante. On découvre surtout deux jeunes acteurs remarquables :
Julien Crampon, dans le rôle de Mr. Hyde et surtout Emilie de Preissac,
excellente dans ce rôle de fliquette qui cache, sous son armure d’acier, une
grande fragilité. En prime : une belle balade à travers Bruxelles.
c'est un bon téléfilm, avec de très bons acteurs, mais franchement quelle fin nulle! il n'y a aucune logique, car d'après les paroles d'Annie Duperey, on croirait bien qu'elle pense à le tuer.
RépondreSupprimerMalice Van Cobbaert
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