Immortels, titre français du film Tuck Everlasting (aussi titré Tuck éternel lors de sa diffusion à la télévision au Québec et Immortels lors de sa sortie en DVD en France) est un drame fantastique américain réalisé par Jay Russell, sorti en 2002. Il est produit, entre autres, par Walt Disney Pictures et constitue la deuxième adaptation cinématographique du livre pour enfant La Source enchantée (Tuck Everlasting) de Natalie Babbitt.
Résumé
En se promenant dans un endroit isolé, une jeune fille du nom de Winnie (Alexis
Bledel) fait la connaissance d'un garçon de son âge, Jesse (Jonathan Jackson) et de sa
famille les Tuck, qui vit à l'écart de la civilisation comme le feraient des pionniers. Cette famille a
quelque chose de particulier, car l'âge n'a pas de prise sur eux. En effet, lorsqu’ils sont venus
se réfugier dans la région, ils ont bu l’eau d’une source qui les a rendus
immortels. Depuis, ils vivent en reclus, n’autorisant personne à venir sur
leurs terres, de peur que leur secret ne soit éventé et qu’on les accuse de
sorcellerie.
Mais c’était sans compter sur le
coup de foudre que ressentent Winnie et Jesse dès leur première rencontre. La
famille Tuck est alors confrontée à un terrible dilemme : soit faire bénéficier
Winnie de cette immortalité et la garder avec eux, soit lui laisser vivre une vie normale, c'est-à-dire vieillir et mourir...
Mon opinion
Je n'ai jamais lu le roman
original qui, pour avoir eu un succès aussi phénoménal, doit avoir des qualités
que n’a pas le film : celui-ci est une bluette insipide, bien dans l'esprit édulcoré de certaines productions Disney, mais qui, malgré tout, se laisse
regarder. Il est cependant curieux qu’un tel film, qui est à la limite du gentil navet,
ait pu recueillir jusqu'à 61% d’opinions favorables sur le site de Rotten Tomatoe, qui
est généralement infiniment plus caustique. Est-ce dû à la beauté des acteurs
principaux, Alexis Bledel, qui joue le rôle de Winnie, et Jonathan Jackson,
celui de Jesse, ou des paysages ? Mais en ce qui me concerne, je n'ai pas accroché et j’ai du mal à croire que ce film ait pu
trouver son public, même parmi les adolescents.
Voyez plutôt :
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