Stalk – saison 2
La 2ème partie de la
websérie Stalk a été mise le 8 octobre 2021 sur le site
France.tv/Slash (10 épisodes)
Cette série peut être vue en intégralité et gratuitement sur le site France.TV/Slash
Résumé
A la fin de la première saison,
Lucas « Lux » (Théo Fernandez) avait promis à sa petite amie
Alma (Carmen Kassovitz), partie au Canada retrouver son père, qu’il
s’arrêterait de « stalker » (traquer) ses petits camarades de l'ENSI.
La saison 2 commence à nouveau
bien mal pour lui qui, comme dans la saison 1, est victime, lors de la soirée
d’intégration qui débute l’année, d’une violente drogue de synthèse et en butte
aux agissements d’un mystérieux hacker, The White Duke. Malgré la promesse
qu’il s’est faite de renoncer à ses activités illégales, Il n’a d’autre choix,
pour le démasquer, que de recommencer à « stalker ».
Mon opinion
On retrouve toujours Théo
Fernandez dans le rôle de Lucas (alias Lux), sympathique anti-héros
qui, à l’instar de son illustre aînée Mr. Robot, manipule autant
qu’il est manipulé. Cette 2ème saison, encore plus noire que la
précédente, est traitée comme un thriller : on ne sait qui soupçonner tant
les coupables sont nombreux. Parmi les élèves, on a le choix entre la
talentueuse Charlie (Aloïse Sauvage) dont on ne sait dans quel camp elle
se place et qui défie Lux sur son propre terrain, ou l’un ou l’autre de ces
petits génies de l’informatique sans foi ni loi, exception faite d’Alexandre
« Alex » de Givry (Pablo Cobo) qui est assigné à demeure chez
lui avec un bracelet électronique suite à sa condamnation lors de la 1ère
saison. Parmi les profs, on hésite entre la nouvelle recrue Eva Lang (Vanessa
Guide) sortie tout droit d’un catalogue de mode et Abel Herzig (Clément
Sibony), le directeur de l’école pas si à cheval que cela sur les règles
qu’il a lui-même édicté. Cela, d’ailleurs, lui coûtera son poste et on ne le
regrettera pas tant son personnage est odieux.
Même si, comme moi, on ne
comprend pas grand-chose à ce monde des geeks, à leurs exercices démentiels de
codage et à leur langage ésotérique, on sera malgré tout fasciné par ce jeu
permanent du chat et de la souris auquel ils se livrent. On ne pourra cependant
que regretter que ces jeunes, par ailleurs si doués, n’aient d’autre but dans
la vie, que de gagner et d’écraser les autres au mépris de toute morale ou de
toute valeur. C’est un monde très triste mais qui se dévore comme une barre
chocolatée un tantinet écœurante.
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